Ligne de myrrhe
Yves Corver
Ligne de myrrhe est un thriller d'Yves Corver.
En quelques mots
Paris. Le cadavre d'un homme est découvert dans une voiture diplomatique. À ses pieds une statuette égyptienne, entre ses cuisses une plume d'autruche blanche. La commissaire Nathalie Vincenti se devra d'agir dans la plus grande discrétion. Mais contacté par le mystérieux Imhotep, le pigiste Jim Santiago s'empare à son tour de l'enquête. Démarre alors une partie de bluff, multipliant les victimes.
Public
Ce roman peut être lu par des adultes ou de grands adolescents (plus de 16 ans).
Notre avis
J'ai un avis mitigé sur ce roman.
La première partie est haletante. On suit la commissaire Vincenti qui tente de démasquer le tueur et le journaliste Santiago qui tente de percer les motivations du tueur et le terrible secret que ce dernier veut dévoiler à la face du monde.
Les crimes sont nombreux, un peu répétitifs malheureusement, basés sur la mythologie égyptienne.
Jusque là, tout va bien. Mais on comprend assez rapidement de quoi il en retourne, quelles sont les motivations du tueur. Dès lors, il n'est pas bien compliqué de démasquer celui-ci. Sauf que cela arrive à la moitié du livre qui fait de près de 500 pages. Or, il reste 250 pages à combler.
L'auteur tente bien de nous emmener sur d'autres pistes, de disculper le tueur qu'on a démasqué. Il nous réserve aussi quelques surprises. Seulement, cela n'empêche pas la deuxième partie d'être un peu longuette.
Ce qui est aussi dommage, c'est que certains secrets, notamment autour de la commissaire, ne sont pas suffisamment exploités. On le découvre assez vite alors que l'auteur aurait pu s'en servir tout au long du roman.
La fin, par contre, est comme j'aime : aigre-douce. Certains s'en sortiront bien, d'autres non, d'autres enfin devront vivre avec leurs fardeaux jusqu'à la fin de leur vie.
Pour la première partie brillante et la fin surprenante, je vous recommande ce thriller horrifique.
La première partie est haletante. On suit la commissaire Vincenti qui tente de démasquer le tueur et le journaliste Santiago qui tente de percer les motivations du tueur et le terrible secret que ce dernier veut dévoiler à la face du monde.
Les crimes sont nombreux, un peu répétitifs malheureusement, basés sur la mythologie égyptienne.
Jusque là, tout va bien. Mais on comprend assez rapidement de quoi il en retourne, quelles sont les motivations du tueur. Dès lors, il n'est pas bien compliqué de démasquer celui-ci. Sauf que cela arrive à la moitié du livre qui fait de près de 500 pages. Or, il reste 250 pages à combler.
L'auteur tente bien de nous emmener sur d'autres pistes, de disculper le tueur qu'on a démasqué. Il nous réserve aussi quelques surprises. Seulement, cela n'empêche pas la deuxième partie d'être un peu longuette.
Ce qui est aussi dommage, c'est que certains secrets, notamment autour de la commissaire, ne sont pas suffisamment exploités. On le découvre assez vite alors que l'auteur aurait pu s'en servir tout au long du roman.
La fin, par contre, est comme j'aime : aigre-douce. Certains s'en sortiront bien, d'autres non, d'autres enfin devront vivre avec leurs fardeaux jusqu'à la fin de leur vie.
Pour la première partie brillante et la fin surprenante, je vous recommande ce thriller horrifique.
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